Partie de Lewisburg hier matin, je suis maintenant à l'aéroport de Frankfort où j'attends mon vol pour Genève. Une nuit blanche, quelques bouchons pour aller à Newark, six heures à poireauter, deux trois courbatures d'être restée assise longtemps, un estomac plutôt nauséeux après deux repas pris sur United, et une impatience qui grandit de minute en minute. La France, ça se mérite. Plus d'un an sans rentrer, finalement c'est surtout long vers la fin. Il m'est difficile d'imaginer que la France n'est plus vraiment "chez moi", même si quand j'en parle en Pennsylvanie j'utilise souvent le mot "home". I'm coming home. I'm flying home. Reste qu'il m'aura fallu traverser deux autres pays d'Europe avant de parvenir à bon port. Ces satanés connexion flights rendent les voyages sacrément plus longs, et plus fatigants. Reste aussi à savoir si ma valise enregistrée à New York hier midi va arriver jusqu'à Genève sans encombres. Dans le pire des cas, si elle est perdue, je vais devoir faire beaucoup (énormément/vachement/sacrément) de shopping pour remplacer mes affaires perdues, et ça serait vraiment très très dommage (notons l'ironie de cette dernière déclaration). Par contre, j'en connais certains qui seraient vraiment déçus que les 4 kilos de surprises américaines n'arrivaient jamais jusqu'au Jura. Alors croisons les doigts...et verdict dans deux heures.
Chroniques franco-américaines d'une petite frenchy au pays de l'oncle Sam
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dimanche 10 août 2014
Good morning Germany
Partie de Lewisburg hier matin, je suis maintenant à l'aéroport de Frankfort où j'attends mon vol pour Genève. Une nuit blanche, quelques bouchons pour aller à Newark, six heures à poireauter, deux trois courbatures d'être restée assise longtemps, un estomac plutôt nauséeux après deux repas pris sur United, et une impatience qui grandit de minute en minute. La France, ça se mérite. Plus d'un an sans rentrer, finalement c'est surtout long vers la fin. Il m'est difficile d'imaginer que la France n'est plus vraiment "chez moi", même si quand j'en parle en Pennsylvanie j'utilise souvent le mot "home". I'm coming home. I'm flying home. Reste qu'il m'aura fallu traverser deux autres pays d'Europe avant de parvenir à bon port. Ces satanés connexion flights rendent les voyages sacrément plus longs, et plus fatigants. Reste aussi à savoir si ma valise enregistrée à New York hier midi va arriver jusqu'à Genève sans encombres. Dans le pire des cas, si elle est perdue, je vais devoir faire beaucoup (énormément/vachement/sacrément) de shopping pour remplacer mes affaires perdues, et ça serait vraiment très très dommage (notons l'ironie de cette dernière déclaration). Par contre, j'en connais certains qui seraient vraiment déçus que les 4 kilos de surprises américaines n'arrivaient jamais jusqu'au Jura. Alors croisons les doigts...et verdict dans deux heures.
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Bonjour, Au détour d'une recherche "citrouille dans le Jura" où nous habitons, j'arrive sur votre blog.... je vais donc le lire et remonter le fil des billets car après avoir vécu 1 mois l'an passé dans le Colorado avec toute notre Petite Famille, votre expérience m'attire. D'autant que les orthophonistes sont nos amies.... mon ainé entame sa.... 7ième année. Pas d'études.... de consultation ! lol. Steph
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