Le I 129 et le I 130 ont tous les deux été approuvés par le California Service Center ! C'est une très bonne nouvelle, car cela marque la fin d'une attente pendant laquelle nous n'avions aucunes nouvelles de la procédure. Maintenant, tout est entre les mains du National Visa Center.
Le délai devrait être encore long pour le I 130, mais semble plus court pour le I 129. Nul ne peut encore me prédire quand je partirai, mais il est possible de rester optimiste. 2010 ? Noël ? Janvier 2011 ? On verra...
A vrai dire, mes pensées vont actuellement vers une seule chose : Logan arrive en France le 17 Décembre ! Il a acheté son billet d'avion hier, pour passer deux semaines avec moi. C'est la chose qui me réjouit le plus en ce moment, qui m'a considérablement aidée dans cette longue période d'attente et d'incertitude. J'ai passé une semaine très dure, où sommeil et appétit n'étaient plus au rendez-vous. De nouveau, j'essaie d'être forte et de faire face : l'idée de retrouver mon mari dans un mois est un allié considérable pour garder courage.
Je ne réalise pas encore que ce satané California Service Center n'est désormais plus qu'un mauvais souvenir. Il est certain qu'à la question : "Qu'est ce qui ne vous plait pas aux Etats-Unis ?", je répondrai sûrement une chose : "Le service d'immigration". Une fois là-bas, je serai soulagée et heureuse d'être aux côtés de celui que j'aime, mais il me faudra sans doute quelques temps pour oublier ces mois d'épreuves et pour relâcher la pression après ce parcours du combattant.
Pour l'heure : il faut fêter ça ! A défaut de sabrer le champagne (car il ne faut pas non plus mettre la charrue avant les boeufs), je propose de trinquer au Champomy.
Le délai devrait être encore long pour le I 130, mais semble plus court pour le I 129. Nul ne peut encore me prédire quand je partirai, mais il est possible de rester optimiste. 2010 ? Noël ? Janvier 2011 ? On verra...
A vrai dire, mes pensées vont actuellement vers une seule chose : Logan arrive en France le 17 Décembre ! Il a acheté son billet d'avion hier, pour passer deux semaines avec moi. C'est la chose qui me réjouit le plus en ce moment, qui m'a considérablement aidée dans cette longue période d'attente et d'incertitude. J'ai passé une semaine très dure, où sommeil et appétit n'étaient plus au rendez-vous. De nouveau, j'essaie d'être forte et de faire face : l'idée de retrouver mon mari dans un mois est un allié considérable pour garder courage.
Je ne réalise pas encore que ce satané California Service Center n'est désormais plus qu'un mauvais souvenir. Il est certain qu'à la question : "Qu'est ce qui ne vous plait pas aux Etats-Unis ?", je répondrai sûrement une chose : "Le service d'immigration". Une fois là-bas, je serai soulagée et heureuse d'être aux côtés de celui que j'aime, mais il me faudra sans doute quelques temps pour oublier ces mois d'épreuves et pour relâcher la pression après ce parcours du combattant.
Pour l'heure : il faut fêter ça ! A défaut de sabrer le champagne (car il ne faut pas non plus mettre la charrue avant les boeufs), je propose de trinquer au Champomy.