De retour de chez mes in-laws chez qui j'ai récupéré mon mari éreinté mais vivant, en un seul morceau, flanqué de quelques bribes d'un accent allemand acquis lors de son séjour express à Berlin. Ou peut-être n'est que mon imagination qui me joue des tours tandis que mon estomac distendu me supplie de lui accorder un peu de repos, et alors même que mes deux dernières semaines de marathon d'étudiante ont commencé. Pour ce semestre d'automne en tout cas. Mille projets à finir, mille cours à réviser et seulement quelques jours pour accomplir toutes ces tâches rédhibitoires. Ma liste de choses à faire me fait penser aux écuries d'Augias : on en enlève mais il en revient toujours ; ou alors au tonneau des Danaïdes qui, malgré tous les efforts fournis, ne se remplirait jamais. Mais trêve de pessimisme : je touche presque au but. Après une petite Christmas party avec le groupe d'aphasiques de la clinique, il ne me reste plus qu'une journée à l'école et, probablement plus qu'un ou deux devoirs à rendre avant la fin du semestre. Et tandis que je rêve à des jours moins chargés, les vacances bien méritées se rapprochent, ainsi que les belles réjouissances de Noël. Le sapin est déjà dressé, et il est temps d'en profiter, avant que tout ne recommence…
Chroniques franco-américaines d'une petite frenchy au pays de l'oncle Sam
Bon courage! Prends exemple sur le sapin: il irradie de bons sentiments! :)
RépondreSupprimerMerci!!!!
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